jsf Java Server Faces


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JSF (JavaServer Faces) est un framework MVC basé sur les composants. Il est construit sur l’API Servlet et fournit des composants sous forme de bibliothèques de balises ressemblant très fortement à la
JSTL. Celles-ci peuvent être utilisées dans des pages JSP comme dans toute autre technologie de vue basée sur le Java, car le framework JSF ne limite pas le développeur à une technologie particulière pour la vue. Cependant, il existe une technologie
relativement récente baptisée la Facelet, qui fait partie du standard et qu’il est recommandé d’utiliser dès lors que l’on travaille avec JSF, celle-ci étant bien plus adaptée que les pages JSP : ces-dernières sont d’ailleurs considérées comme une technologie de présentation dépréciée pour JSF depuis la sortie de Java EE 6 en 2009.

Hormis les avantages inhérents à tout framework MVC basé sur les composants, que nous avons listés dans le chapitre précédent, JSF offre notamment de grandes capacités de création de templates (ou gabarits), telles que les composants composites.

Principe
JSF est un framework MVC, et propose en guise de contrôleur unique du cycle de vie du traitement des requêtes la FacesServlet.

JSF vous évite d’avoir à écrire le code – standard, passe-partout et pénible – responsable du regroupement des saisies utilisateurs
(paramètres de requêtes HTTP), de leur conversion & validation, de la mise à jour des données du modèle, de l’invocation
d’actions métiers et de la génération de la réponse. Ainsi vous vous retrouvez uniquement avec une page JSP ou une page
XHTML (une Facelet) en guise de vue, et un JavaBean en tant que modèle. Cela accélère le développement de manière
significative ! Les composants JSF sont utilisés pour lier la vue avec le modèle, et la FacesServlet utilise l’arbre des composants
JSF pour effectuer tout le travail.

Google I/O : le futur de Google Maps dévoilé


Google Maps for Android

Google Maps for Android (Photo credit: Wikipedia)

Confirmant les rumeurs, Google annonce des nouveautés significatives autour de Google Maps, ainsi qu’une nouvelle version de Google Maps pour Android et iOS.

Comme prévu, la nouvelle version de Google Maps dispose d’une interface en plein écran, utilisant des cartes vectorielles, et basée sur WebGL. Les résultats sont nommés directement sur la carte, et l’interface tire parti de la métaphore des cartes empruntée à Google Now.

Google Maps au Google I/O 2013

WebGL est également au coeur de la nouvelle vue satellite, qui affiche des immeubles 3D détaillés, et une expérience proche de Google Earth, sans plug-in. Petit détail qui a son importance : la vue globale de la Terre utilise des nuages en temps réel.

D’autres fonctionnalités permettent d’ajouter des endroits importants que l’on pourra retrouver en se connectant à son compte Google, une nouvelle interface pour les transports, permettant notamment d’afficher visuellement les itinéraires nécessitant le moins de correspondance.

La nouvelle version de Google Maps est disponible dès aujourd’hui, en version preview, sur invitation, directement depuis le service.

Google Maps au Google I/O 2013

 

Google Maps I/O

 

Google Maps I/O transports

 

Une nouvelle version sur smartphone et tablettes

La nouvelle version de Google Maps pour Android et iOS arbore une interface simplifiée, reprenant là encore les codes visuels de Google Now. Les fonctionnalités de navigation bénéficient d’une refonte ajoutant notamment des informations en temps réel sur les incidents, et un calcul automatique d’itinéraire alternatif.

Côté tablettes, on dispose d’un nouveau mode Explore, permettant de naviguer par activités (cinémas, visites, shopping…), permettant de trouver des lieux en fonction de ses centres d’intérêt.

D’autres nouveautés incluent un nouveau système de notation des points d’intérêt, sur 5, des partenariats, notamment avec Starbucks pour bénéficier d’offres directement dans l’applications, et l’intégration des données de Zagat pour les restaurants.

La nouvelle version de Google Maps sera disponible cet été sur Android et iOS, en version smartphone et tablettes.

Google Maps au Google I/O 2013

 

Google Maps au Google I/O 2013

 

Linux 3.9 inaugure le cache SSD et mise sur les PC modernes


Linux 3.9 est sorti la semaine dernière, comme d’habitude sous l’impulsion de son créateur Linus Torvalds. Cette nouvelle version du noyau met tout particulièrement l’accent sur les PC modernes.

Deux mois après la version 3.8 marquant l’abandon de la microarchitecture i386, la nouvelle version poursuit le travail de modernisation entamé avec la branche 3.x.

Linux - Tux Logo officiel

Linux 3.9 s’ouvre ainsi à l’utilisation de SSD en tant que mémoire cache d’un disque dur, à la manière du Smart Response d’Intel (communément appelé SRT), ou plutôt du Fusion Drive d’Apple, puisque les données sont écrites en premier lieu sur le support de stockage le plus rapide avant d’être déplacées sur le plus lent. Ce type de procédé permet d’améliorer sensiblement les performances d’un ordinateur à moindre coût. Il est très répandu dans les Ultrabooks.

En parlant de nouvelles catégories d’ordinateurs, Linux 3.9 inclut désormais les pilotes nécessaires au fonctionnement optimal des derniers Chromebooks. La nouvelle version poursuit par ailleurs le travail entamé avec le kernel 3.7 en terme d’harmonisation de prise en charge des puces ARM. Un noyau donné peut désormais fonctionner avec une multitude de puces.

Notons enfin des améliorations dans la prise en charge des GPU d’Intel, y compris de ceux des futurs processeurs Haswell, ainsi que de nouveaux pilotes libres pour les GPU d’AMD et de Nvidia, qui comblent en partie leur retard sur les pilotes propriétaires.

Pour les plus téméraires, les sources du noyau Linux 3.9 sont disponible sur le site Internet kernel.org. Mais des binaires prêts à l’emploi seront prochainement proposés via les distributions.

Google combine Drive, Gmail et Photos autour de 15 Go de stockage gratuit


Google a décidé de repenser la façon dont il distribuait les capacités de stockage gratuite de ses différents services, autour d’une unique réserve de 15 Go, qui se répartira désormais de façon automatique entre Gmail, Google Drive, ou les photos Google+.
Google a décidé de simplifier la façon dont il allouait le stockage autorisé par ses différents services, ce qui se traduit par la mise en place d’un réservoir unique, de 15 Go en version gratuite, qui se distribuera indifféremment entre la messagerie Gmail, le service de stockage Google Drive ou l’hébergement de photos intégré à Google+. Jusqu’ici, Google proposait 10 Go sur Gmail, et 5 Go pour le stockage pur dans sa version gratuite.

« Peut-être butiez-vous sur la limite de votre stockage Drive alors que vous n’utilisiez que 2 Go sur Gmail », prend comme exemple Google pour illustrer les bénéfices de ce nouveau mode de calcul. Dans cette nouvelle configuration, l’utilisateur pourra stocker jusqu’à 15 Go de données au global, quelle que soit la façon dont celles-ci sont réparties entre les trois services concernés.

google stockage

Le passage vers une offre payante (100 Go pour 4,99 dollars) profite de conditions d’utilisation similaires, ce qui permet donc par exemple d’envisager un compte Gmail plafonné à 100 go si les autres services ne sont pas utilisés. La modification est également répercutée du côté des comptes Google Apps, qui dans la version de base autoriseront maintenant 30 Go de stockage total (contre 25 Go pour Gmail et 5 Go pour Drive au préalable). Une flexibilité accrue qui vise à renforcer l’attrait des services de stockage de Google par rapport à la concurrence, qu’il s’agisse de l’offre de Microsoft (7 Go sur Skydrive et stockage virtuellement illimité sur Outlook.com) ou de spécialistes du genre comme Dropbox, Box.net et consorts.

La modification sera perceptible sur la plupart des comptes Google dans les semaines à venir, qui proposeront alors une vue graphique de la façon dont l’espace de stockage est distribué entre les différents services (cf. capture).

Microsoft launches Windows Embedded 8 Industry OS


A few weeks ago, Microsoft launched the standard version of its Windows Embedded 8 operating system, along with Windows Embedded 8 Pro. Today, the company expanded its new versions of its embedded OS by launching two SKUs for Windows Embedded 8 Industry.

The official announcement from Microsoft states:

Windows Embedded 8 Industry provides a fixed-image OS that is especially suited to power industry devices, control panels, kiosks, and yes, POS terminals. It provides a single image with lockdown features and embedded enhancements that will make the next generation of industry devices smarter, better connected, more secure, and more user friendly.

The standard Windows Embedded 8 Industry Pro SKU has been made for installation in ATMs along with devices made for health care and manufacturing businesses. The Retail SKU of Windows Embedded 8 Industry Pro has been designed for use in terminals such as kiosks, scanners and others.

Microsoft plans to launch a third SKU, Windows Embedded 8 Industry Enterprise, in July. It will be made specifically for devices that will link up to Microsoft’s Windows 8 Enterprise OS. Add it all up and Microsoft’s embedded lineup of operating systems could soon be used in your local band, grocery store, and medical office, among others.

Source: Microsoft | Image via Microsoft

Google publie le code source d’Android 4.2.2


Les développeurs peuvent l’utiliser pour créer leur propre ROM personnalisée

Comme il est de coutume après le déploiement d’une nouvelle version Android, Google a publié le code source d’Android 4.2.2 Jelly Bean, dans le cadre du projet Android Open Source (AOSP).

 

 

 

android-4.2-jelly-bean

 

 

 

Les binaires d’Android 4.2.2 sont disponibles pour les terminaux Nexus 4, Nexus 7, Nexus 10 et la précédente génération des Galaxy Nexus.

Les développeurs intéressés par le code source du système d’exploitation mobile pourront le modifier, créer leur propre ROM personnalisée ou tenter de le porter sur leur dispositif.

La publication du code d’Android permettra également à un plus grand nombre de constructeurs de préparer des appareils pour cette version ou de faire migrer les dispositifs existants vers l’OS.

Pour rappel, Android 4.2.2 apporte des améliorations de performances, de la stabilité, des corrections de bogues, notamment un bogue lié à la lecture de la musique via une connexion Bluetooth.

 
 Télécharger le code source d’Android 4.2.2

 

 

 

 

ATMEL SAM9G45 ARM9 Board


Atmel logo

Atmel logo (Photo credit: Wikipedia)

ATMEL SAM9G45 ARM9 Board

  • ATMEL SAM9G45 ARM9 Board
Order#: EB-SAM9G45     LeadTime: 8 weeks
Accept ODM/OEM
PACKING:
Item:

ATMEL SAM9G45 ARM9 Board

Quantity:
+
Price:
$255.00

Delivery Wt:
2.20 lb

 

Block Diagram

Hardware Features
  • Support Linux2.6 and WinCE6.0 OS, with free relevant board support packages (BSPs)
  • CPU: Atmel AT91SAM9G45 (ARM926EJ-S Core), 400MHz
  • On-chip memory: 64KB ROM & 64KB SRAM
  • External memory: 256MBNandFlash, 2MB NorFlash, 4MB DataFlash & two 64MB DDR2 SDRAM
  • Four UART interfaces
  • One high-speed USB Host Port
  • One high-speed Host Device Port
  • One JTAG Debug Interface
  • One 10/100 Ethernet interface
  • One SD/MMC card interface
  • One Micro SD card interface
  • One IIS Audio output port
  • One IIS Audio input port
  • Two User buttons
  • One Wake-up button
  • One Reset button
  • One User LED
  • One Power LED
  • 60 I/O Pins User Extention Interface
  • Power: 5VDC from connector, with back-up battery on board
  • Working temperature: -10 to 70 Deg C
  • Dimension: 120 x 90 mm

AT90S2333 - Mikrocontroller von Atmel

AT90S2333 – Mikrocontroller von Atmel (Photo credit: Wikipedia)

Mozilla dévoile des smartphones sous Firefox OS


Test Acid3 - Firefox Mobile 4.0 RC1 su Windows XP.

Test Acid3 – Firefox Mobile 4.0 RC1 su Windows XP. (Photo credit: Wikipedia)

Mozilla a séduit le public du MWC 2013, la grande conférence annuelle du mobile, en dévoilant plusieurs bonnes nouvelles concernant son système d’exploitation mobile Firefox.

L’organisme précurseur des technologies du Web ouvert a présenté deux modèles de smartphones sous Firefox OS : Alcatel One Touch Fire et ZTE Open.

Très peu de détails ont été divulgués sur ces dispositifs, dont le modèle ZTE Open qui disposerait d’un processeur Cortex A5 et d’un écran tactile HVGA de 3,5 pouces. Le modèle One Touch Fire, quant à lui, disposerait d’un processeur de 1 GHz et d’un écran tactile de 3,5 pouces.

Alcatel One Touch Fire

Alcatel One Touch Fire (Photo credit: robpegoraro)

 

zteopen

 
Firefox OS est la réponse de Mozilla aux écosystèmes mobiles fermés actuels. Le but de la fondation est de mettre au point un OS entièrement basé sur les technologies du Web (HTML5, JavaScript et CSS), permettant aux applications Web d’exploiter le plein potentiel des terminaux.

L’interface de Firefox est assez proche de celle d’Android. Elle dispose d’une barre de lancement des applications, d’un bouton pour accéder à la galerie d’applications, d’une zone de recherche d’applications et de bien plus.

Firefox OS sera le premier OS mobile qui permettra aux développeurs Web d’accéder à toutes les ressources matérielles de l’appareil comme l’accéléromètre, l’appareil photo, le NFC, etc. via des API Web.

 

onetouch

 

n dehors de ZTE et Alcatel, l’OS bénéficie également du soutien de Huawei et LG comme constructeurs et de près de 18 opérateurs, dont Telefonica, América Móvil, China Unicom, Deutsche Telekom et Telecom Italia Group.

Firefox OS vise essentiellement les « feature-phone » et les premiers dispositifs sous l’OS seront lancés dans les pays émergents, notamment le Brésil, la Colombie, la Hongrie, le Mexique, la Pologne, la Serbie et l’Espagne à partir de juillet.

Les développeurs pourront dès le mois prochain acheter les smartphones Keon et Peak qui fonctionnent sous une préversion du système d’exploitation mobile.

Altera to Build Next-Generation, High-Performance FPGAs on Intel’s 14 nm Tri-Gate Technology


Altera Logo

Altera Logo (Photo credit: Travis Goodspeed)

Altera 20 nmEach new generation of silicon technology brings both new opportunities and challenges, as well as reexamination of the initial cost and power assumptions made when designing systems. Silicon technologies in Altera’s next-generation product portfolio will be no different.

 

Using a tailored approach, Altera’s advantage at the 14 nm and 20 nm manufacturing nodes are driven by Altera’s process technology selection and enabled by key advancements in the area of programmable transceivers, integrated hard logic capabilities, and the advent of 3D heterogeneous integrated circuits.

Measurable Process Advantage

Altera’s next-generation products extend the company’s tailored approach by including device families based on Intel’s 14 nm Tri-Gate process technology as well as TSMC’s 20 nm system-on-a-chip (20SoC) process technology. Mixing and matching process technologies enable Altera to create the most-differentiated, highly optimized products in the industry.

intel
tsmc-logo

Google Maps Android API


Allow your users explore the world with rich maps provided by Google. Identify locations with custom markers, augment the map data with image overlays, embed one or more maps as fragments, and much more.

Maps

The Google Maps Android API reference is available here on developer.android.com, but for more information about adding maps to your app, visit:

developers.google.com/maps

KEY DEVELOPER FEATURES

Add maps to your app

With version 2 of the Google Maps Android API, you can embed maps into an activity as a fragment with a simple XML snippet. The new Maps offer exciting features such as 3D maps; indoor, satellite, terrain, and hybrid maps; vector-based tiles for efficient caching and drawing; animated transitions; and much more. Add a map object.

Customize the map

Add markers onto the map to indicate special points of interest for your users. You can define custom colors or icons for your map markers to match your app’s look and feel. To further enhance the app, draw polylines and polygons to indicate paths or regions, or provide complete image overlays. Draw markers.

Control the user’s view

Give your users a different view of the world with the ability to control the rotation, tilt, zoom, and pan properties of the “camera” perspective of the map.Change the view.

GETTING STARTED

1. Get the Google Play services SDK

The Google Maps Android APIs are part of the Google Play services platform.

To use Google Maps, set up the Google Play services SDK. Then see the Getting Started guide to get your API key for Maps and set up your app.

2. Run the sample

Once you’ve installed the Google Play services package, the Google Maps sample is located in<android-sdk>/extras/google-play-services/samples/maps and shows you how to use the major components of the Google Maps Android APIs.

3. Read the documentation

Read the Google Maps API Terms of Service.

For quick access while developing your Android apps, the Google Maps Android API reference is available here on developer.android.com.

Detailed documentation for the Google Maps Android APIs is available with the rest of the Google Maps developer documents atdevelopers.google.com/maps